» » » Simenon, Georges - La danseuse du Gai-Moulin


Авторские права

Simenon, Georges - La danseuse du Gai-Moulin

Здесь можно скачать бесплатно "Simenon, Georges - La danseuse du Gai-Moulin" в формате fb2, epub, txt, doc, pdf. Жанр: Полицейский детектив. Так же Вы можете читать книгу онлайн без регистрации и SMS на сайте LibFox.Ru (ЛибФокс) или прочесть описание и ознакомиться с отзывами.
Simenon, Georges - La danseuse du Gai-Moulin
Рейтинг:
Название:
La danseuse du Gai-Moulin
Автор:
Издательство:
неизвестно
Год:
неизвестен
ISBN:
нет данных
Скачать:

99Пожалуйста дождитесь своей очереди, идёт подготовка вашей ссылки для скачивания...

Скачивание начинается... Если скачивание не началось автоматически, пожалуйста нажмите на эту ссылку.

Вы автор?
Жалоба
Все книги на сайте размещаются его пользователями. Приносим свои глубочайшие извинения, если Ваша книга была опубликована без Вашего на то согласия.
Напишите нам, и мы в срочном порядке примем меры.

Как получить книгу?
Оплатили, но не знаете что делать дальше? Инструкция.

Описание книги "La danseuse du Gai-Moulin"

Описание и краткое содержание "La danseuse du Gai-Moulin" читать бесплатно онлайн.



Deux jeunes noceurs endettés – un bourgeois désaxé et le fils d'un employé – fréquentent à Liège « Le Gai-Moulin », une boîte de nuit où ils courtisent l'entraîneuse Adèle. A la fin d'une soirée qu'elle a passée, à une table voisine des jeunes gens, en compagnie d'un Levantin arrivé le jour même dans la ville, Delfosse et Chabot se laissent enfermer dans la cave de l'établissement afin de s'emparer de la recette. Dans l'obscurité, ils entr'aperçoivent ce qu'ils croient être un cadavre, celui du Levantin ; ils prennent la fuite. Le lendemain, émoi dans la presse : le corps d'Ephraïm Graphopoulos, le client de passage, est découvert à l'intérieur d'une manne d'osier abandonnée dans un jardin public. L'enquête aboutit rapidement à l'arrestation des deux jeunes gens. Mais il y a un troisième suspect : un autre client de passage, un Français, également présent au « Gai-Moulin » le soir du meurtre.


[http://www.amazon.fr/Danseuse-du-Gai-Moulin-Georges-Simenon/dp/2253142549](http://www.amazon.fr/Danseuse-du-Gai-Moulin-Georges-Simenon/dp/2253142549)







— Quand est-il sorti ?

Le commissaire regarda attentivement Chabot qui reprenait espoir, puis ne s’occupa plus de lui. C’était aux autres qu’il s’adressait maintenant.

— En somme, quel est l’ordre exact des sorties ?

— D’abord les deux jeunes gens… Du moins une fausse sortie, puisqu’il est établi qu’ils étaient cachés dans la cave… Ensuite le danseur et les musiciens… On fermait… L’homme en question a emmené Adèle, qui est attachée à l’établissement…

— Il restait donc le patron, Graphopoulos et les deux garçons…

— Pardon, un des garçons, celui qu’on appelle Joseph, était parti en même temps que les musiciens…

— Donc, le patron, un garçon et le Grec…

— Et les deux jeunes gens dans la cave…

— Que dit le patron ?

— Que son client est sorti à ce moment et qu’avec Victor il a éteint les lumières et fermé les portes…

— On n’a plus revu l’autre, dont parle Chabot ?

— Non ! On me l’a décrit aussi comme un homme grand et large d’épaules… Un Français, croit-on, car il n’avait pas l’accent d’ici…

Le commissaire bâilla, marqua quelque impatience dans la façon dont il débourra sa pipe.

— Téléphonez donc au Gai-Moulin et demandez à Girard ce qui s’y passe…

Chabot attendait avec anxiété. C’était encore plus affreux que précédemment, parce que maintenant il y avait une lueur d’espoir. Mais il craignait de se tromper. Cette peur était douloureuse. Ses mains se crispaient sur le rebord de la table. Son regard allait de l’un à l’autre, et surtout à l’appareil téléphonique.

— Allô !… Le Gai-Moulin, s’il vous plaît, mademoiselle…

Et le policier aux pipes de demander aux autres :

— Alors, c’est entendu, j’écris à mon beau-frère ?… Au fait, qu’est-ce que vous préférez ? Pipes droites ou pipes courbes ?…

— Droites ! répliqua le commissaire.

— Donc, deux douzaines de pipes droites… Dites donc, vous n’avez plus besoin de moi ?… J’ai mon gosse qui a la rougeole et…

— Tu peux aller.

Avant de sortir, le policier jeta un dernier coup d’œil à Jean Chabot, demanda à voix basse à son chef :

— On le garde ?

Et le jeune homme, qui avait entendu, essayait de surprendre la réponse, tous les sens tendus.

— Sais pas encore… En tout cas jusqu’à demain… Le Parquet décidera…

Tout espoir était perdu. Les muscles de Jean se détendirent. Qu’on le relâchât le lendemain, c’était trop tard. Ses parents sauraient ! À l’heure même, ils l’attendaient, s’inquiétaient !

Mais il ne pouvait plus pleurer. Tout son être s’avachissait. Il entendit vaguement la conversation téléphonique.

— Girard ?… Alors, qu’est-ce qu’il fait là-bas ?… Comment ?… Ivre mort ?… Oui, il est toujours ici… Non !… Il nie, bien entendu !… Attends ! Je vais demander au patron !…

S’adressant au commissaire :

— Girard demande ce qu’il doit faire. Le jeune homme est ivre mort… Il a commandé du champagne et il boit avec la danseuse, qui ne vaut pas beaucoup mieux que lui… On l’arrête ?

Le chef regarda Jean en soupirant.

— Nous en avons déjà un… Non ! qu’on le laisse tranquille… peut-être commettra-t-il une imprudence… Mais que Girard ne le lâche pas !… Il n’a qu’à nous téléphoner tout à l’heure…


Le commissaire s’était installé dans le seul fauteuil de la pièce et, les yeux clos, il paraissait dormir. Mais le filet de fumée qui s’élevait de sa pipe prouvait qu’il n’en était rien.

Un inspecteur remettait au net l’interrogatoire de Jean Chabot. Un autre faisait les cent pas, attendant avec impatience qu’il fût trois heures pour aller se coucher.

Il faisait plus frais. La fumée elle-même semblait froide. Le jeune homme ne dormait pas. Ses pensées s’embrouillaient. Les deux coudes sur une table, il fermait les yeux, les ouvrait, les fermait à nouveau. Et chaque fois que ses paupières s’écartaient, il voyait un même papier à en-tête sur lequel était écrit en belle anglaise :

Procès-verbal a été dressé au sieur Joseph Dumourois, journalier, domicilié à Flémalle-Haute, pour vol de lapins au préjudice de…

Le reste était caché par un sous-main.

Sonnerie de téléphone. L’inspecteur qui marchait alla décrocher.

— Oui… Bon !… Entendu !… Je vais le lui dire !… Un qui ne s’embêtera pas, celui-là !…

Il s’approcha du chef.

— C’est Girard… Delfosse et la danseuse ont pris un taxi et se sont fait conduire au domicile d’Adèle, rue de la Régence… Ils sont rentrés ensemble… Girard monte la garde…

Dans la brume rougeâtre qui envahissait son cerveau, Jean imagina la chambre d’Adèle, le lit qu’il avait vu défait, la danseuse qui se dévêtait, allumait le réchaud à alcool…

— Vous n’avez toujours rien à dire ? lui demanda le chef sans quitter son fauteuil.

Il ne répondit pas. Il n’en avait pas la force. C’est à peine s’il comprit que c’était à lui qu’on s’adressait.

Un soupir du commissaire, qui dit à l’inspecteur :

— Tu peux aller !… Laisse-moi seulement un peu de tabac…

— Vous croyez que vous arriverez à quelque chose ?

Et le regard désignait la silhouette noire de Jean pliée en deux, le torse sur la table.

Un nouveau haussement d’épaules.

Et un grand trou dans la mémoire de Chabot. Un trou noir, grouillant de formes obscures, avec des étincelles rouges qui traversaient le tout sans rien éclairer.

Il se dressa en entendant une sonnerie insistante. Il vit trois grandes fenêtres pâles, des lampes jaunâtres, le commissaire qui se frottait les yeux, saisissait machinalement sa pipe éteinte sur la table et s’avançait, les jambes gourdes, vers le téléphone.

— Allô ! oui !… Allô !… La Sûreté, oui !… Mais non, mon vieux… Il est ici… Comment ?… Qu’il vienne le voir si ça lui fait plaisir…

Et le commissaire, la bouche pâteuse, alluma sa pipe, en tira quelques bouffées amères avant de se camper devant Chabot.

— C’est ton père, qui signale ta disparition au commissariat de la 6e Division… Je crois qu’il va venir.

Brutalement, des rayons de soleil émergèrent d’un toit voisin, enflammèrent une des vitres, tandis que des hommes de peine arrivaient avec des seaux et des brosses pour nettoyer les locaux.

Une rumeur confuse montait du marché qui se tenait à deux cents mètres, en face de l’Hôtel de Ville. Les premiers tramways circulaient en sonnaillant comme s’ils eussent pour mission de réveiller la cité.

Jean Chabot, le regard trouble, se passait lentement la main dans les cheveux.


V


Confrontation

Le souffle rauque cessa au moment où Delfosse ouvrait les yeux, et aussitôt il se dressa sur son séant, lança autour de lui un regard apeuré.

Les rideaux de la chambre n’avaient pas été fermés et l’ampoule électrique brûlait toujours, mêlant ses rayons jaunes à la lumière du jour. Une rumeur de ville en pleine activité montait de la rue.

Plus près, une respiration régulière. C’était Adèle, à demi dévêtue seulement, couchée sur le ventre, la tête dans l’oreiller. Une chaleur moite se dégageait de son corps. Un pied était encore chaussé et le haut talon s’enfonçait dans l’édredon de soie or.

René Delfosse était malade. Sa cravate l’étranglait. Il se leva pour chercher de l’eau, en trouva dans la carafe, mais ne vit pas de verre. Il but l’eau tiédie à même le récipient, goulûment, se regarda dans le miroir de la toilette.

Son cerveau était lent. Les souvenirs ne venaient qu’un à un et il subsistait des trous. Par exemple, il ne se souvenait pas de la façon dont il était arrivé dans cette chambre. Il interrogea sa montre. Elle était arrêtée, mais l’activité du dehors indiquait qu’il était au moins neuf heures du matin. Une banque, en face, était ouverte.

— Adèle !… appela-t-il pour ne plus être seul.

Elle remua, se mit sur le flanc, en chien de fusil, mais ne s’éveilla pas.

— Adèle !… Il faut que je te parle…

Il la contemplait sans désir. Peut-être même, à ce moment, la chair blanche de la femme l’écœurait-elle un peu ?

Elle ouvrit un œil, haussa les épaules, se rendormit. À mesure qu’il reprenait ses esprits, Delfosse devenait plus nerveux. Son regard trop mobile ne s’arrêtait nulle part. Il marcha vers la fenêtre, reconnut sur le trottoir d’en face l’inspecteur de police qui allait et venait sans quitter la porte des yeux.

— Adèle !… Éveille-toi, pour l’amour de Dieu !…

Il avait peur ! Une peur blanche ! Il ramassa son veston qui était par terre et, quand il l’eut endossé, il tâta machinalement les poches. Elles ne contenaient pas un centime.

Il but à nouveau et l’eau tombait, trop lourde, trop fade, sur son estomac malade. Un instant, il crut qu’il allait vomir, que cela le soulagerait, mais il n’y parvint pas.

La danseuse dormait toujours, les cheveux défaits, le visage luisant. Un sommeil têtu, dans lequel elle semblait s’enfoncer farouchement.

Delfosse remettait ses souliers, apercevait sur la table le sac de sa compagne. Alors une idée lui vint. Il alla s’assurer que le policier était encore dehors. Puis il attendit que le souffle d’Adèle fût plus régulier.

Il ouvrit le sac sans bruit. Pêle-mêle avec le rouge, la poudre et de vieilles lettres, il y avait environ neuf cents francs qu’il poussa dans sa poche.

Elle n’avait pas bougé. Il marcha vers la porte, sur la pointe des pieds. Il descendit l’escalier mais, au lieu de gagner la rue, il se dirigea vers la cour. C’était la cour de l’épicerie, encombrée de caisses et de tonneaux. Une porte cochère s’ouvrait sur une autre rue, où des camions attendaient.

Delfosse dut faire un effort pour ne pas courir. Et une demi-heure plus tard, il arrivait, en nage, devant la gare des Guillemins.


L’inspecteur Girard serra la main du collègue qui s’approchait de lui.

— Qu’est-ce qu’il y a ?

— Le commissaire demande que tu lui amènes le jeune homme et la danseuse. Voici les mandats.

— L’autre a avoué ?

— Il nie ! Ou plutôt il raconte je ne sais quelle histoire d’argent volé par son ami dans une chocolaterie. Son père est là-bas. Ce n’est pas gai…

— Tu viens avec moi ?

— Le patron n’a pas précisé… Pourquoi pas ?…

Et ils entrèrent dans l’immeuble, frappèrent à la porte de la chambre. Personne ne répondit. Alors l’inspecteur Girard tourna le bouton de la porte, qui s’ouvrit. Comme si elle eût senti le danger, Adèle s’éveilla soudain, se souleva sur les coudes, questionna d’une voix pâteuse :

— Qu’est-ce que c’est ?

— Police ! J’ai un mandat contre vous deux.

» Mais tonnerre de Dieu ! où est passé le jeune homme ?…

Elle le chercha du regard, elle aussi, tout en poussant ses jambes hors du lit. Une sorte d’instinct lui fit repérer son sac et elle se précipita vers l’objet ouvert, le fouilla fébrilement, glapit :

— Le voyou ! Il a filé avec mon argent !…

— Vous ne saviez pas qu’il était parti ?

— Je dormais… Mais il me le paiera !… Voyez-vous ces crapules de fils à papa !…

Girard avait aperçu un étui à cigarettes en or sur la table de nuit.

— À qui est-ce ?

— C’est lui qui l’aura oublié ici… Il l’avait dans les mains, hier au soir…

— Habillez-vous !

— On m’arrête ?

— J’ai en tout cas un mandat d’amener contre une certaine Adèle Bosquet, exerçant la profession de danseuse.

» Je suppose que c’est bien vous ?

— Ça va !

Elle ne s’affolait pas. Sa préoccupation dominante ne semblait pas être cette arrestation, mais le vol dont elle venait d’être victime. Tout en remettant de l’ordre dans sa coiffure, elle répéta deux ou trois fois :

— Le voyou !… Et moi qui dormais tranquillement !…

Les deux policiers regardaient autour d’eux en connaisseurs, échangeaient des œillades.

— Vous croyez que ce sera pour longtemps ? questionna-t-elle encore. Parce que, alors je prendrais du linge de rechange…

— Savons rien du tout ! On a reçu un ordre…

Elle haussa les épaules, soupira :

— Du moment que je n’ai rien à me reprocher !

Et, se dirigeant vers la porte :

— Je vous attends… Vous avez une voiture, au moins ?… Non ?… Alors j’aime autant marcher toute seule… Vous n’avez qu’à me suivre…

Elle fit claquer rageusement le fermoir de son sac, qu’elle emporta, tandis que l’inspecteur glissait l’étui à cigarettes dans sa poche.

D’elle-même, une fois dehors, elle se dirigea vers les bureaux de la police, où elle entra sans hésitation, ne s’arrêta que dans le large corridor.

— Par ici ! dit Girard. Un moment ! Je vais demander au chef si…

Une fausse manœuvre. Elle était déjà entrée ! Et, du premier coup d’œil, elle se rendait compte de la situation. Sans doute l’attendait-on, car il ne se passait rien. Le commissaire aux moustaches rousses faisait les cent pas dans la vaste pièce. Accoudé à un bureau, Chabot essayait de manger un sandwich qu’on lui avait apporté. Quant à son père, il était debout dans un coin, tête basse.

— Et l’autre ?… lança le chef quand il vit entrer Adèle accompagnée de Girard.

— Parti ! Il a dû filer par une porte de derrière ! D’après Mademoiselle, il a emporté le contenu de son sac…

Chabot n’osait regarder personne. Il avait déposé son sandwich à peine entamé.

— De beaux voyous, commissaire !… Ah ! on m’y reprendra à être gentille avec des cocos de cette espèce !…

— Doucement ! Doucement ! Et contentez-vous de répondre à mes questions.

— N’empêche qu’il a emporté toutes mes économies !

— Je vous prie de vous taire.

Girard parlait bas au commissaire, lui remettait l’étui à cigarettes en or.

— Dites-moi d’abord comment cet objet est arrivé dans votre chambre. Je suppose que vous le reconnaissez. Vous avez passé avec Graphopoulos sa dernière soirée. Il s’est servi plusieurs fois de cet étui que diverses personnes ont remarqué. Est-ce lui qui vous l’a donné ?

Elle regarda Chabot, puis le commissaire, affirma :

— Non !

— Alors, comment était-il chez vous ?

— C’est Delfosse…

Chabot redressa vivement la tête, voulut se précipiter, commença :

— Ce n’est pas vrai… Elle…

— Vous, allez vous asseoir !… Vous dites, mademoiselle, que c’est René Delfosse qui était en possession de cet étui. Vous rendez-vous compte de la gravité de cette accusation ?

Elle ricana :

— Et comment !… Il a bien volé l’argent qu’il y avait dans mon sac, lui…


На Facebook В Твиттере В Instagram В Одноклассниках Мы Вконтакте
Подписывайтесь на наши страницы в социальных сетях.
Будьте в курсе последних книжных новинок, комментируйте, обсуждайте. Мы ждём Вас!

Похожие книги на "La danseuse du Gai-Moulin"

Книги похожие на "La danseuse du Gai-Moulin" читать онлайн или скачать бесплатно полные версии.


Понравилась книга? Оставьте Ваш комментарий, поделитесь впечатлениями или расскажите друзьям

Все книги автора Simenon, Georges

Simenon, Georges - все книги автора в одном месте на сайте онлайн библиотеки LibFox.

Уважаемый посетитель, Вы зашли на сайт как незарегистрированный пользователь.
Мы рекомендуем Вам зарегистрироваться либо войти на сайт под своим именем.

Отзывы о "Simenon, Georges - La danseuse du Gai-Moulin"

Отзывы читателей о книге "La danseuse du Gai-Moulin", комментарии и мнения людей о произведении.

А что Вы думаете о книге? Оставьте Ваш отзыв.